Disques

L’album « Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band » est cité dans tous les ouvrages comme une référence absolue. Il y a effectivement un avant et un après. Ce n’est peut-être pas le meilleur album si on compare les chansons de cet album avec d’autres albums des Beatles mais l’approche de l’enregistrement, la fin des concerts révolutionnent définitivement la façon de concevoir un disque. Avec Sgt. Pepper, le studio devient un instrument.

Après l’enregistrement catastrophique du projet « Get Back » en janvier 1969 qui deviendra l’album « Let it Be » en 1970, The Beatles n’ont plus grand chose à partager. Ils retournent pourtant aux studios pour la dernière fois pour ce qui sera un de leurs meilleurs albums « Abbey Road ». Explications sur la fin du plus grand groupe de tous les temps.

En 1967, le groupe The Rolling Stones arrêtent les concerts après plusieurs années de tournées incessantes à travers le monde. Cet arrêt va être mis à profit par Keith Richards, en replongeant dans les racines de la musique américaine, pour refonder entièrement la musique du groupe. Le groupe doit également gérer le comportement de plus en plus erratique de son fondateur Brian Jones. Le résultat sera l’album « Beggars Banquet ». C’est un point tournant dans la carrière des Rolling Stones. Cet album va définir la musique et le son des Rolling Stones jusqu’à aujourd’hui. C’est le début d’un « âge d’or » du groupe qui durera jusqu’à Exile on Main Street (1972).

1969 est une année charnière pour les Rolling Stones. Éviction, puis décès de Brian Jones, le fondateur du groupe. Intégration de Mick Taylor. Reprise des concerts après une longue interruption. Sortie de l’album « Let it Bleed », début de l’enregistrement de « Sticky Fingers ». Fin du contrat DECCA. Après la renaissance du groupe en 1968 et malgré la catastrophe du festival d’Atlamont, The Rolling Stones deviennent pour quelques années : « The Greatest Rock n’ Roll Band in the World ».

Moins de quatre ans auront suffi à Jimi Hendrix à devenir un des plus grands guitaristes de tous les temps. Mais Jimi Hendrix n’était pas seulement un guitariste. Il était auteur-compositeur, producteur, réalisateur, interprète et il possédait son propre studio d’enregistrement. Retour sur l’histoire météorique de ce gaucher qui ne savait pas lire la musique qui a bouleversé l’histoire de la musique populaire et en particulier avec son chef d’oeuvre « Electric Ladyland » dont c’était le 50e anniversaire en 2018.

Fight the Power est considéré par de nombreuses personnes comme un des titres essentiels de toute l’histoire du hip-hop. Composé pour le film Spike Lee « Do the Right Thing », il représente une espèce d’apogée de l’âge d’or du hip-hop. Retour sur la genèse de ce titre et de ses créateurs : Public Enemy.

Possibilité de créer une conférence sur une demande spécifique d’un enregistrement.